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Portrait de Manu Tilquin

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Manu
Tilquin

52 ans, germaniste • Pesche

La transmission est pour moi viscérale et, si vous me faites confiance, je serai particulièrement attentif à l'enseignement (être attaché à notre pays et ne pas défendre le néerlandais dans nos écoles est un non-sens), à la qualité de notre biodiversité (si on vient à Couvin, c'est souvent pour ses magnifiques balades), ou à jeter des ponts et mettre davantage de liant dans notre si belle commune entre les différentes générations et communautés. Toute indignation n'a de sens que si elle débouche sur une action positive, solidaire et donc anti-raciste.

Flexitarien, je crois beaucoup à l'importance du commerce local, de la santé mentale, à la monnaie régionale Le Semeur, à la nécessité du co-voiturage et de transports en commun de qualité, ou encore aux nombreux effets bénéfiques d'un potager et à la production d'énergie renouvelable gérée en coopérative locale.

Scout (« élan volontaire ») depuis mon enfance, je suis passionné par la musique comme vecteur de tolérance. J'ai été percussionniste et saxophoniste dans ma jeunesse, mais à présent, j'épanouis surtout cette passion dans l'organisation participative 100% bénévole de festivals (Chimay Spring et Cabaret Vert), dans les concerts auxquels j'assiste régulièrement ou dans la musique de tous styles que j'écoute chaque jour. Je co-organise aussi des conférences dans la région, ainsi que, par exemple, les Petits-Déjeuners Oxfam le 24 novembre à Couvin, auxquels je vous invite chaleureusement.